«Kidz»: Bâle lance un modèle d'hospitalisation à domicile en pédiatrie
Alors que la prise en charge d'enfants malades à domicile est déjà établie dans certains pays, Bâle ose désormais franchir le pas avec «Kidz», un nouveau projet pilote.
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Alors que la prise en charge d'enfants malades à domicile est déjà établie dans certains pays, Bâle ose désormais franchir le pas avec «Kidz», un nouveau projet pilote.
Avec une étude menée par PwC, H+ esquisse un système hospitalier affranchi des réflexes territoriaux et des traditions organisationnelles. À la clé: une transformation numérique profonde et des régions de soins repensées.
Gérald Brandt prendra en mars 2026 la direction des ressources humaines et de la formation de l’Association vaudoise d’aide et de soins à domicile, après sept années passées au Réseau hospitalier neuchâtelois.
En retirant le terme «nursing» de la liste des diplômes supérieurs, Washington restreint l’accès aux aides financières et risque de mettre en péril l’évolution de la profession.
Selon le Baromètre CNO 2025, la pénurie de personnel ne domine plus les préoccupations des directeurs des soins: confrontés à une pression économique croissante, les Chief Nurse Officers réorientent désormais leurs priorités vers la maîtrise des coûts et l’efficacité opérationnelle.
Au CHUV, une consultation d’ostéopathie ambulatoire s’intègre désormais au parcours hospitalier. Pour Chantal Berna Renella du Centre de médecine intégrative et complémentaire, cette approche offre une manière supplémentaire d’accompagner la douleur chronique.
L’Ente Ospedaliero Cantonale teste, en collaboration avec la centrale d’achat HSK, un nouveau modèle tarifaire destiné à encourager le transfert d’un nombre significatif d’interventions du secteur stationnaire vers le secteur ambulatoire.
Selon une vaste étude internationale, les médecins sont moins épuisés et plus enclins à rester en poste lorsque les équipes infirmières sont suffisamment dotées et que le climat de travail soutient la pratique clinique.
Alors que doivent débuter les débats au Conseil national, les médecins urgentistes mettent à nouveau en garde contre l'idée d'une «taxe pour les cas bénins». Ils proposent quatre alternatives concrètes.